top of page

Titre de la page

Paragraphe. Cliquez sur « Modifier le texte » ou double-cliquez sur la zone de texte pour modifier votre contenu. Assurez-vous d'ajouter les informations importantes que vous souhaitez partager avec vos visiteurs.

Capture d’écran 2024-01-12 à 17.05.33.png

de l'aube

La promesse

|
Romain Gary

Actrice ratée, Mina a placé tous ses espoirs dans la réussite de son fils : c’est l’œuvre d’une vie, pour laquelle elle sacrifie tout. Elle ne manque pas d’ambition pour lui, le futur Romain Gary à qui elle répète : « Tu seras un héros, ambassadeur de France, tu seras Victor Hugo, tu seras prix Nobel ! ». L’enfant, devenu adulte, n’aura de cesse d’offrir à sa mère ce qu’elle a rêvé pour lui : « Ma mère avait besoin de merveilleux », confie-t-il. Toute sa vie, il se consacrera pleinement à la réalisation du dessein maternel et il tiendra toutes ses promesses : il sera héros de guerre, ambassadeur de France et Prix Goncourt deux fois…

Adaptation et mise en scène Cyril Brisse

Jeu Céline Dupuis et Stéphane Hervé

Lumière Nicolas Faucheux

Régie Clément Comien

Administration de production Anne de Bréchard

Diffusion Florent Mousset

 

Un spectacle produit par

la Compagnie des Ils et des Elles
photos © Filigrane111

Nous voulions continuer à travailler le théâtre-récit, qui implique une sincérité absolue et une distance inhérente à la forme. Monter, montrer, donner  corps au texte, incarner et partager ce qui nous a traversé et bouleversé si fort, à la lecture d'un roman.

La forme est épurée, elle laisse toute la place à l’imaginaire, au voyage dans l’intime... Et nous racontons l’histoire simplement, sans effets, dans une alternance d’adresse directe, de théâtre-récit et de scènes dialoguées.

Céline Dupuis et Cyril Brisse

Soutiens  DRAC Hauts-de-France, Spedidam

Partenaires Franche Connexion, L'école Buissonnière - Montigny en Gohellela Virgule-Centre Transfrontalier de Création Théâtrale Tourcoing

Spectacle créé le 6 novembre 2015 au Théâtre de la Verrière à Lille

 

Plus de 120 représentations :                                                                                 

Gondecourt — Lens — Montigny-en-Gohelle — Courrières — Seclin — Lillers — Grenay — Carvin — Hénin-Beaumont — Fay'stival, Fay-aux-loges  — Le NEC (Nouvel Espace Culturel), St-Priest-en-Jarez — Pouzauges — Guînes — Théâtre de L'Aventure, Hem — Nogent sur Oise — Festival Théâtre de Bourbon — Biarritz — Salle Jacques Brel, Talange — Bruay-La-Buissière — Festival Dix en scène, Mairie du X, Paris — Festival d'Avignon, Présence Pasteur — Espace Gérard Philipe, Port Saint Louis — Théâtre municipal, Le Puy en Velay — Gondecourt — Conflans-Saint-Honorine — Tourville La Rivière — Sars-et-Rosières — Toulon — Le Beausset — Conflans-Saint-Honorine — Festival d'Avignon, Présence Pasteur — Camphin-en-Carembault  — L'Âne Vert Théâtre, Fontainebleau — Théâtre Clin d’œil, Saint-Jean-de-Braye — Dourges — Noyelles-Godault — Drocourt —Tours — La Piscine, Dunkerque — Marquise — Eu - Le Tréport — La Verrière, Lille — Oignies — Lille (en appartement) — Toulouse (en appartement)

Presse La promesse

La presse en parle

La Voix du Nord  Serge Carpentier - 08/02/2016

À Saint-André, Grégoire Delacourt a « ri, pleuré et trouvé ça beau » .

Les superlatifs étaient de mise au Zeppelin, jeudi, pour saluer la performance de Céline Dupuis au cours de la lecture-spectacle du best-seller de Grégoire Delacourt, « La liste de mes envies ».  La salle était archicomble ! Céline raconte. Le public est scotché sur son siège, vit la lecture au rythme de la batterie de Charlie Giesek, Vittorio Gassman d’un jour. Quelques larmes coulent au milieu des rires et des émois. Les lumières s’éteignent, Jocelyne ou Céline, on ne sait plus, salue le public. Le silence est assourdissant puis, soudain, le public exulte.           

Assis au milieu des spectateurs, le Valenciennois Grégoire Delacourt savoure. « Je ne savais rien de ce

 

La Nouvelle République du Centre - mars 2016

L’histoire est subtilement découpée pour le théâtre et évoque les folles ambitions pour son fils de Mina, actrice russe généreuse et extravagante. Avec beaucoup de talent, d’humour et de tendresse, tout en nuances et retenue pour l’un, fantaisie et extravagance pour l’autre, les deux acteurs savent transmettre toute l’énergie, le sel et l’émotion du roman de Romain Gary.  

 

La Petite Revue Critique littéraire et théâtrale - juillet 2016

L’adaptation du roman de Romain Gary, réalisée par Cyril Brisse, se concentre sur la relation hors norme de Romain Gary et sa mère, Mina Owczynska. Le récit, limpide, oscillant entre humour et gravité, se révèle très théâtral. Céline Dupuis incarne avec beaucoup d’humanité et de nuances Mina, cette mère courageuse et dévouée, possessive et envahissante. Face à elle, Stéphane Hervé est très touchant, faisant du romancier, pourtant quadragénaire, un éternel enfant face à sa mère. Leur tandem fusionnel et tendre fonctionne à merveille. On sort ému par la beauté du texte et la force de l’interprétation. 


 

La Nouvelle Claque - avril 2018

Dans une mise en scène épurée, entre théâtre-récit et dialogues, Céline Dupuis et Stéphane Hervé portent la voix d’un amour filial hors du commun. Il n’est pas aisé d’incarner cette mère tyrannique d’amour dont on a pu se construire une image à la lecture du roman mais Céline Dupuis s’en tire avec charme. Voix forte, impétueuse, avec ce petit quelque chose de délirant et d’infiniment tendre qui sied si bien au personnage, lui donne corps. De son côté, Stéphane Hervé est tour à tour l’enfant puis le jeune homme, dévoué et sarcastique, fier et honteux. Derrière un jeu tout en finesse, on sent que ce rôle est très sérieux pour l’acteur et son implication se ressent, fait écho chez le spectateur.

C’est une interprétation très juste pour des passages du roman très bien choisis : le déroulé de l’histoire n’est en rien dénaturé (comme cela peut être parfois le cas lorsqu’il faut choisir quoi garder d’un classique de la littérature).

 

Destimed, L'info des deux rives - novembre 2019

La belle adaptation théâtrale, du roman de Romain Gary, signée Cyril Brisse, se concentre sur la relation hors norme de la mère et du fils. Un amour inconditionnel et passionné.

Cette partie de sa confession structure le récit, limpide, qui oscille entre humour, tendresse et gravité et se révèle très théâtral.

Choisissant une forme épurée, la Compagnie privilégie la « simplicité du jeu, la sincérité, et la proximité avec le public » voulant faire surgir émotion, nuance, densité, tendresse amusée et l’humour de Gary qui est un humour bienveillant, fait de connivence, et celui de sa mère, jugé « fantasque, extravagant et sensible. »

Pari réussi. Tout dans cette adaptation respire la perfection, la rigueur, la force, portée en cela par le jeu lumineux des deux comédiens.

Stéphane Hervé dans la peau de Gary joue sobre, vrai, juste.

Sous les traits de Mina, l’actrice Céline Dupuis possède la fougue et la flamme nécessaires au rôle en lui apportant une touche de folie burlesque.

Jamais ils ne forcent le trait, ni n’affadissent l’aspect dramatique et burlesque du récit.

On se promène dans tous les extraits du roman choisis pour réaliser la pièce dans un monde qui à la fois s’écroule, puis renaît et dans la perfection de la langue de Gary.

Lumières, accessoires, décors soignés, il en résulte un beau moment artistique qui donne envie de relire « La promesse de l’aube » bien sûr mais aussi tout Gary. "

bottom of page